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Musique | Photographie | Dessins et plans | Notes (musique) | Solfège | Musique -- Intervalles et gammes | Partitions -- Lecture et déchiffrage | Partitions (musique) | Musique -- Classification | Musique -- Associations | Instruments de musique | Note de musique | RyXéo | Arnaud Pérat | Instruments à clavier | Notation musicale | Instruments à vent | Instruments à cordes | Instruments à cordes pincées | Associations de musique | ...
Blanches et demi-pause. Source : http://data.abuledu.org/URI/5343c94e-la-blanche-et-la-demi-pause

Blanches et demi-pause

Dans le solfège, la blanche est une figure de note représentée par un ovale de couleur blanche, attaché à une hampe. La position de cet ovale sur la portée indique la hauteur : ici sol et do. Dans une mesure chiffrée 4/4 la blanche vaut deux temps, soit la moitié de cette mesure. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mesure_%28solf%C3%A8ge%29

Chiffrage des mesures en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/5345544b-commontime-svg

Chiffrage des mesures en solfège

Les deux nombres du chiffrage forment une fraction (sans la barre horizontale) dont l'unité de valeur est toujours la ronde. Le chiffrage 4/4 est parfois représenté par un "C", et le chiffrage 2/2 par un "C barré". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mesure_%28solfege%29

Fa et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/53450256-fa

Fa et clef de sol en solfège

La note représente par sa forme une durée (dimension horizontale du solfège). De par sa position sur la portée, elle représente une hauteur (dimension verticale). Tout son musical (ou note) possède une fréquence fondamentale correspondant à sa hauteur. Deux notes dont les fréquences fondamentales ont un ratio qui est une puissance de deux (c'est-à-dire la moitié, le double, le quadruple...) donnent deux sons très similaires. Cette observation permet de regrouper toutes les notes qui ont cette propriété dans la même catégorie de hauteur.

Gamme musicale. Source : http://data.abuledu.org/URI/534548b9-gamme

Gamme musicale

En musique, une gamme musicale est un ensemble déterminé de notes conjointes s'étendant sur une octave. Une gamme se définit également par la succession des intervalles qui subdivisent une octave. Par exemple, la gamme de do majeur, ou gamme « classique », comporte sept notes : do (ou ut), ré, mi, fa, sol, la, si. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gamme_musicale

La et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/53450506-la

La et clef de sol en solfège

Le la est compris entre le sol et le si. En musique, le diapason est un outil de musicien donnant la hauteur (fréquence en hertz) d'une note-repère conventionnelle, en général le la, afin que celui-ci accorde son instrument. Par extension, le diapason désigne la hauteur absolue de la note de référence mondialement acceptée (actuellement la fréquence du la3 est de 440 Hz). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Diapason

Mathématiques et musique. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f99218-mathematiques-et-musique

Mathématiques et musique

Cette image indique les harmoniques du do1 sur une portée, et précisent par les flèches et les chiffres (en cents) l’écart de hauteur entre chacun des 16 premiers harmoniques et la note la plus proche dans la gamme tempérée. Considérant que le demi-ton (du tempérament égal) fait 100 cents, la déviation de 49 cents de l'harmonique 11 est donc quasiment à mi-chemin entre deux notes existantes, c’est-à-dire un quart de ton.

Mi et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/534501b7-mi

Mi et clef de sol en solfège

En musique, une note désigne soit un symbole permettant de représenter la hauteur et la durée relative d'un son, soit la hauteur elle-même d'un son. Dans le solfège, la note de musique est littéralement "notée" sur une partition afin d'être lue par le musicien interprète. On lui attribue quatre caractéristiques principales : durée, hauteur, intensité et timbre. La note représente par sa forme une durée (dimension horizontale du solfège). De par sa position sur la portée, elle représente une hauteur (dimension verticale). Le mi est situé entre le ré et fa. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mi_%28note_de_musique%29

Paquet cadeau. Source : http://data.abuledu.org/URI/531c2935-paquet-cadeau

Paquet cadeau

Paquet cadeau avec portées de piano sur le papier d'emballage.

Portée musicale. Source : http://data.abuledu.org/URI/53450c6c-portee

Portée musicale

Dans le solfège, la portée est un ensemble de cinq lignes horizontales permettant de représenter les hauteurs. Elle est destinée à recevoir la figure de notes et de silences, les clefs, les altérations, et quelques autres symboles annexes. Dans le solfège, la représentation des hauteurs utilise six types de signes : la portée, les lignes supplémentaires, les figures de note, les clés, les signes d'octaviation et les altérations. Les cinq lignes de la portée sont également espacées et forment entre elles quatre interlignes. Les lignes et les interlignes sont numérotés du bas vers le haut. Le nombre de lignes a varié jusqu'à la Renaissance où il fut définitivement fixé à cinq. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Port%C3%A9e_%28musique%29

Ré et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/5344ff93-re

Ré et clef de sol en solfège

La note ré est la seconde note de la gamme majeure. Il a été choisi par Guido d'Arezzo (0990?-1050) pour nommer la seconde note de la gamme. Le ré est placé entre la note do et la note mi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9_%28note_de_musique%29

Roue à carillon en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bd79b5-roue-a-carillon-en-bretagne

Roue à carillon en Bretagne

Roue à carillon de l'église Notre Dame de Confort (Confort-Meilars, Finistère, Bretagne). Monument Historique de la base Palissy, mobilier PM29000555). D'un diamètre de 1,75 m, elle possède douze clochettes de notes différentes, du Do au Do supérieur. La roue à carillons — appelée aussi roue de guérison, roue de fortune ou roue de gloire — est un instrument de musique de percussion, de type idiophone, d'origine bretonne, généralement constitué d'une douzaine de cloches produisant autant de notes différentes.

Sablés crus de formes diverses. Source : http://data.abuledu.org/URI/522e02c2-sables-crus-de-formes-diverses

Sablés crus de formes diverses

Douze sablés crus à la pulpe d'ananas, en forme de flèches, notes de musique et main.

Si et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/53450592-si

Si et clef de sol en solfège

Le si est la note de musique comprise entre le la et le do.

Sol et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/534503de-sol

Sol et clef de sol en solfège

Le sol est le cinquième degré de la gamme de do en musique. En musique, une note désigne soit un symbole permettant de représenter la hauteur et la durée relative d'un son, soit la hauteur elle-même d'un son. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Note_de_musique

Un octave au piano. Source : http://data.abuledu.org/URI/530265be-un-octave-au-piano

Un octave au piano

Un octave au piano avec initiales sur les sept touches blanches : C = do, D = ré, E = mi, F = fa, G = sol, A = la, B = si.

Ut et clef de sol en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/5344fe2b-ut

Ut et clef de sol en solfège

La note do (début de domine), anciennement appelée ut, est la première note de la gamme majeure. Le do est la seule note de musique à avoir changé de nom. Le nom ut est cependant conservé dans les termes techniques ou théoriques. Ainsi, on parle par exemple de trompette en ut, de clé d'ut, de contre-ut pour le chant. la clef de sol, qui indique le sol no 3, proche du la du diapason concerne les sons aigus. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Do_%28note_de_musique%29

Angklung indonésien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533970d3-angklung-indonesien

Angklung indonésien

L’angklung est à la fois un instrument de musique en bambou et un ensemble de musiciens l'utilisant. Il s'agit d'un hochet complexe d'Indonésie populaire dans toute l’Asie du Sud-Est. L’angklung indonésien a été inscrit en 2010 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. On obtient de la musique de l'angklung en le secouant, faisant ainsi claquer les résonateurs de bambou sur les montants. Chaque instrument produit ainsi deux ou trois notes. Il est souvent disposé en série croissante si bien qu'au lieu d'avoir un ou deux instruments par musicien, ce dernier pourra en manipuler plusieurs dizaines. Généralement, trois personnes ou plus ont un angklung dans leurs mains, qui produisent des sons sur différents tons. De cette façon, il est possible de jouer une mélodie pentatonique complète. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Angklung

Bayan russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397737-bayan

Bayan russe

Le bayan ou accordéon à basses chromatiques, est l'accordéon chromatique de concert russe, apparu vers 1850 et dont l’usage s’est développé au début du XXe siècle. Il doit son nom au légendaire vieux chanteur et narrateur russe (ou slave) Bayan (ou Boyan) qui se produisit devant plusieurs princes au XIe siècle. Le bayan est doté d’un clavier de 105 boutons disposés sur 5 rangées (pour la main droite), et d’un clavier de 120 boutons disposés sur 6 rangées (pour la main gauche). Le système main gauche est caractérisé par un "déclencheur" permettant de convertir le clavier traditionnel à basses composées (un bouton correspond à un accord) en un clavier chromatique à basses libres (un bouton correspond à une note). Le bayan donne toutes les notes de la gamme chromatique tempérée, et la disposition des touches permet de jouer dans n’importe quelle tonalité sans changer de doigté. Grâce à l’étendue qu’offre l’instrument et la qualité de son timbre, ce modèle complet d'instrument permet d'aborder tous types de musiques de l'époque baroque à nos jours ; il est souvent utilisé par des virtuoses qui interprètent aussi bien de la musique classique que de la musique contemporaine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bayan_%28instrument%29

Biniou breton. Source : http://data.abuledu.org/URI/5323019d-biniou

Biniou breton

"Biniou Kozh", ou "vieux biniou", instrument typique de Bretagne, fait par Jorj Bothua. Le biniou est le terme générique en breton pour désigner la cornemuse, instrument à vent à anche double et à poche de réserve d'air. Il est joué par un sonneur (soner ou biniaouer). Traditionnellement, le terme désigne les cornemuses utilisées en Bretagne bretonnante, qui ne sont pas les mêmes que celles utilisées dans d'autres pays celtiques. Structurellement, le biniou se compose d'un réservoir de cuir (sac'h) alimenté par un petit tuyau (sutell) permettant au préalable de le gonfler. Ce sac, placé sous l'aisselle gauche du sonneur laisse échapper, sous la pression du bras contre les côtes, l'air qu'il contient par deux autres tuyaux : d'une part le chalumeau (levriad) à anche double, percé de six trous offrant la possibilité de jouer une octave de notes selon un doigté voisin de celui de la bombarde, et d'autre part, le bourdon (c'horn-boud) à anche simple, qui fait entendre un son grave, continu et invariable correspondant à ce que l'on appelle une pédale de tonique en harmonique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Biniou

Cimboa du Cap-Vert. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4e8f-cimboa

Cimboa du Cap-Vert

La cimboa /sĩˈboɐ/ (ou cimbó /sĩˈbɔ/) est un instrument de musique originaire du Cap-Vert. Il s’agit d’un cordophone frotté, qui était traditionnellement utilisé pour accompagner les danses de batuque. Sur l’origine exacte de l’instrument, on ne sait presque rien, sauf qu'il vient de l’Afrique continentale. Certains auteurs notent cependant la ressemblance de la cimboa avec des instruments africains situés à des milliers de kilomètres de distance, comme le kiki des Tédas et Dazagadas du Tibesti et de Borkou, le nini des Zaghawa, le fini des Kanembou, ou encore le kiki des Maba de la région de Ouaddaï. La hauteur des notes est obtenue en pressant la corde en divers endroits du manche et en arquant le manche flexible.

Cithare. Source : http://data.abuledu.org/URI/53232de1-cithare

Cithare

Si son origine remonte à la Grèce antique, de nos jours, la cithare (en allemand, Zither) est un instrument de musique à cordes pincées faisant partie du folklore autrichien ou germanique, répandu aussi en Suisse, en Slovénie et en France. La caisse de résonance a une forme trapézoïdale, relativement plate. La table d'harmonie a une grosse ouïe centrale et des décorations y sont souvent appliquées. La cithare possède autant de cordes que de notes jouables (par la main droite) pour la mélodie, et quelques chœurs, ensembles de quatre cordes assurant les accords de l'accompagnement (qui sont joués de la main gauche). Les cordes mélodiques sont fines et décroissent en longueur de la gauche vers la droite, c’est-à-dire des sons graves vers les sons aigus. Les chœurs consistent en groupes de quatre cordes approximativement de même longueur mais de grosseurs très différentes pour produire des accords montants lorsqu'elles sont grattées de la droite vers la gauche. Des chevilles en métal assurent fixation et accord. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cithare.

Clef de sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/51239c05-clef-de-sol

Clef de sol

En solfège, une clef (ou clé) est un signe graphique placé au début de la portée qui indique la hauteur des notes associées à chaque ligne.

Clef de ut. Source : http://data.abuledu.org/URI/51239e0b-clef-de-ut

Clef de ut

En solfège, une clef (ou clé) est un signe graphique placé au début de la portée qui indique la hauteur des notes associées à chaque ligne.

Cor à deux pistons du XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300b9d4-cor-a-deux-pistons-du-xixeme-siecle

Cor à deux pistons du XIXème siècle

Cor à deux pistons - Michel Rivet, Lyon, milieu du XIXème siècle - Paris, Musée de la musique. La paternité de cette invention revient au corniste Heinrich Stölzel et au hauboïste Friedriech Blühmel en 1815. Stölzel proposa le premier cor d'harmonie avec deux pistons (abaissant, respectivement, l'accord d'un demi-ton et d'un ton), actionnés par la main droite. Le cor d'harmonie à deux pistons était presque chromatique (seules trois notes manquaient) sur une 22ème diminuée (3 octaves et une quinte diminuée). Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Cor_d%27harmonie

Coupe d'un piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/510293f9-coupe-d-un-piano-a-queue

Coupe d'un piano à queue

Coupe d'un piano à queue : 1 et 14) Cadre métallique, 2) Abattant du couvercle, 3) Capo d'astro ou barre harmonique, 4) Tête d'étouffoir, 5) Couvercle, 6) Chevalet d'étouffoir (ou pivot des étouffoirs ?), 7) Rail des chevalets d'étouffoir (ou barre de forte ?), 8) Barre de transmission de la pédale forte, 9) Levier de la transmission du forte, 10) Tige de Lyre, 11) Pédale, droite (forte), gauche (piano), 12) Chevalet, 13) Cheville d'accord (pointe d'accroche), 15) Table d'harmonie, 16) Corde. Le piano à queue est constitué : d'un clavier, généralement à 88 touches (7 octaves 1/4), muni d'un couvercle ; d'un barrage, structure en poutres ; d'une table d'harmonie, mise en vibration par les cordes par l'intermédiaire de chevalets ; de cordes : une par note dans les graves, deux dans les notes intermédiaires, trois dans les aiguës. Les cordes d'aigus sont nues, les cordes de graves sont filées ; d'un cadre métallique au-dessus de la table d'harmonie (sur les pianos modernes) ; d'une ceinture, coffrage entourant la table d'harmonie ; d'un couvercle s'ouvrant à 45° ; d'une mécanique de percussion ; d'un pédalier (lyre) ; d'un pupitre.

Demi-pause en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/5344018d-demi-pause

Demi-pause en solfège

Dans le solfège, un silence est un moment pendant lequel n'est émis aucun son, il correspond à une pause dans l'exécution du morceau. Comme pour les notes de musique, chaque durée de silence a son symbole, ici silence équivalant à la moitié d’une pause, égal à une blanche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Silence_%28musique%29

Dulcitone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fef8-dulcitone

Dulcitone

Un dulcitone (à l'origine forks piano, où fork = diapason) est un instrument de musique dont le son est produit par une rangée de diapasons métalliques, qui vibrent sous l'action de marteaux similaires à ceux du piano, activés par un clavier à échappement simple (2 modèles : 3 octaves, ou 5 octaves 1/2). Sa fabrication date de la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle, par la firme écossaise Thomas Machell & Sons (Glasgow). Sa sonorité fait penser à celle d'un marimba dans les notes graves, atteignant progressivement celle d'un célesta dans les aiguës. Une forme plus ancienne apparaît sous le nom de typophone dans Le Chant de la cloche (Op. 18, création 1886) de Vincent d'Indy. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dulcitone

Guiro cubain. Source : http://data.abuledu.org/URI/532834e9-guiro-

Guiro cubain

Le güiro est un instrument de musique de percussion de la famille des idiophones, fréquent à Cuba et Porto Rico, constitué d'un racloir percé de trous dans lesquels on passe le pouce et le majeur pour le tenir. On tient l'instrument avec la main gauche, et on gratte avec la main droite les rainures du racloir à l'aide d'une petite baguette de bois avec un mouvement d'aller et retour de la main pour produire le son par raclement. Des mouvements lents émettent des sons plutôt graves, tandis que des mouvements rapides émettent des sons plus aigus. Ainsi, l'alternance de mouvements lents et rapides permet l'accentuation de certaines notes, les notes aigües étant les accents.

Harmonica chromatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec46a7-harmonica-chromatique

Harmonica chromatique

Dernier né de la famille, il permet de jouer toute la gamme chromatique de façon simple. Par contre, il ne dispose pas, de par la disposition de ses notes, de beaucoup de possibilités de jeu en accords. Ses possibilités rythmiques sont donc inférieures à l'harmonica diatonique.

Instrument à vent électronique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300996d-instrument-a-vent-electronique

Instrument à vent électronique

Instrument à vent électronique (EWI) permettant de piloter un synthétiseur. L'EWI possède un bec équipé de capteurs de pression d'air (contrôle du volume) et de pression des lèvres (vibrato). Les clefs ne se déplacent pas, la détection des doigtés se fait par conductivité (détection de la position des doigts par courant électrique), ce qui permet de jouer très rapidement. L'octave est choisie parmi sept en positionnant le pouce gauche sur un ensemble de rouleaux. Le capteur de pression d'air permet une grande étendue dynamique, en particulier en combinaison avec un synthétiseur analogique. Le contrôleur à vent indique les notes à jouer à un synthétiseur intégré ou externe, il est possible de le connecter à une station de travail numérique afin de produire une plus grande variété de sons. Cet instrument a été utilisé tout particulièrement par les musiciens smooth jazz. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Electronic_Wind_Instrument

Intervalles de la gamme pythagoricienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b5296f-intervalles-de-la-gamme-pythagoricienne

Intervalles de la gamme pythagoricienne

Représentation graphique d'une gamme pythagoricienne : il est possible de représenter une gamme pythagoricienne particulière en mettant les apotomes et les limmas les uns à la suite des autres selon les intervalles obtenus, le limma étant plus court que l'apotome d'un comma. Les deux demi-tons, qui sont identiques dans la gamme tempérée, sont nommés dans la gamme pythagoricienne : apotome, pour l'intervalle formé par une note et sa version altérée ; limma, pour l'intervalle formé par une note altérée et la note voisine ne portant pas le même nom. Ces intervalles sont disposés ainsi : do - apotome - do♯ - limma - ré, pour les quintes ascendantes ; do - limma - ré♭ - apotome - ré, pour les quintes descendantes. Dans la gamme pythagoricienne, les notes bémolisées sont inférieures d'un comma pythagoricien à leurs notes conjointes diésées, on en déduit l'ordre suivant : do - ré♭ - do♯ - ré. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_pythagoricien

Ivoire et ébène. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ee8306-ivoire-et-ebene

Ivoire et ébène

Touches du clavier de piano en ivoire et en ébène : touches blanches pour les sept notes de la gamme diatonique, touches noires pour les cinq notes restantes de la gamme chromatique.

Jouhikko finlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4ff2-jouhikko-finlandais

Jouhikko finlandais

Le jouhikko ou jouhikannel est un instrument arrivé en Finlande après avoir traversé la Norvège. Il est proche du "crwth" gallois. L'instrument fait partie de la famille des lyres à archet. C'est un instrument constitué généralement de 3 cordes de crin (parfois 2) se jouant à l'archet ; sa caisse présente un dos évidé fortement bombé et une table plate. Une ouverture à gauche permet à l'instrumentiste de passer le bout des doigts pour raccourcir l'une des cordes en la touchant au côté et non en y appuyant, et ainsi changer la hauteur de la note. La deuxième corde joue le rôle de bourdon. Un instrument à deux cordes permet de jouer 5 notes, soit la tessiture d'une quinte. Si une troisième corde est présente sur l'instrument, elle permet de jouer une note plus grave d'un ton, étendant la tessiture totale de l'instrument à une sixte majeure. L'instrument est joué en le positionnant sur la jambe gauche, son extrémité inférieure s'appuyant sur le genou droit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jouhikko.

Lilyu siffle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5184e19f-lilyu-siffle

Lilyu siffle

Lilyu siffle, deux notes de musique.

Pause en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/53454147-pause

Pause en solfège

Un silence est un élément qui indique au musicien de ne pas jouer pendant un certain laps de temps. Leur organisation est identique à celle des notes, avec une durée qui varie du simple au double à chaque étape. La pause vaut comme la ronde.

Quinte du loup et comma pythagoriciens. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f9941f-quinte-du-loup-et-comma-pythagoriciens

Quinte du loup et comma pythagoriciens

Quinte du loup et comma pythagoriciens dans le cercle des quintes justes construit à partir du do. En musique, le loup est une perturbation d'un ordre établi. Traditionnellement la quinte du loup est l'intervalle formé par les notes laflat - miflat dans les instruments à claviers construits à la renaissance et pendant la période baroque (orgue et clavecin).

Serinette. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fff60d-serinette-

Serinette

Serinette fabriquée par Bennard à Mirecourt, dans les Vosges, en 1757 exposée au Musée Historique de Lausanne : une serinette est un instrument de musique mécanique primitif assimilable à un orgue destiné à apprendre des mélodies courtes à des oiseaux siffleurs. Elle est à l'origine du verbe "seriner" (répéter de nombreuses fois). Ces instruments sont relativement simples. Ils sont composées d'un cylindre de bois comportant des pontets en métal. Ceux-ci commandent l'ouverture de petits clapets qui admettent de l'air dans des tubes d'orgue (généralement en étain) accordés au notes de l'instrument. L'air est brassé par deux soufflets en peau eux-mêmes actionnés par une manivelle. C'est également cette manivelle qui fait tourner le cylindre avec la mélodie au moyen d'une vis sans fin. Le morceau « enregistré » sur le cylindre dure de 10 à 20 secondes, dépendant beaucoup de la personne qui joue de l'instrument. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Serinette.

Shamisen japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316199-shamisen

Shamisen japonais

Le shamisen, "trois cordes parfumées", est un instrument de musique traditionnel à cordes pincées utilisé en musique japonaise. C'est un luth à long manche à la touche lisse mesurant de 110 à 140 cm, dont la caisse de résonance carrée est traditionnellement construite en bois de santal et recouverte de peau de chat ou de chien. À l'exception du shamisen de l'île d'Okinawa qui est traditionnellement recouvert de peau de serpent et est appelé sanshin ou jabisen. La table en peau fait qu'on donne parfois au shamisen le nom de "banjo japonais". Le manche est long et fin, sans frettes. Il est muni de trois cordes (d'où le nom de l’instrument, qui signifie littéralement « trois cordes du goût ») de soie ou de nylon. On joue du shamisen agenouillé sur un zabuton en pinçant les cordes à l'aide d'un large plectre en ivoire (bâshô ou bachi). La musique traditionnelle au shamisen intercale au milieu de la mélodie de longs silences qui donnent d'autant plus de force aux notes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Shamisen

Stylophone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fdfb-stylophone

Stylophone

Le Dubreq Stylophone est un instrument de musique électronique miniature, créé en 1967 par Brian Jarvis. Il se compose d'un clavier métallique de 20 notes sur lequel on joue à l'aide d'un stylo relié à un fil électrique, ce qui ferme le circuit et produit la note. Le son produit est pauvre et l'appareil se rapproche davantage du gadget que de l'instrument de musique. Néanmoins, les artistes utilisant le stylophone ajoutent le plus souvent des effets sonores (grâce à des pédales multi-effets) pour enrichir le son et en faire un véritable synthétiseur. Durant sa vie éphémère, le stylophone fut un énorme succès commercial, avec trois millions d'exemplaires vendus, surtout en tant que jouet. On lui connaît quelques rares utilisations musicales, par des artistes comme Pulp, Kraftwerk, Erasure et David Bowie (dans le morceau Space Oddity). On peut noter sa réutilisation grâce à des artistes tels que Little Boots, Spirit of the matter, Dionysos (tournée acoustique 2009) ainsi que Charlie Winston lors de son concert au Point gamma 2009 de l'École polytechnique. Source : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Modern_Stylophone.JPG